Rimelle ayant mangé toute l’herbe disponible dans le pré jouxtant son box, je dois désormais tous les jours la mener avec son petit dans une pâture située derrière la maison et, puisque ce pré n’à d’autre abri que les arbres, les ramener le soir à leur box.
Comme je manipule D’Artagnan depuis sa naissance, la confiance est installée et il se laisse facilement passer le licol.
Il faut maintenant que l’ânon accepte les contraintes de la longe, ce qui, quand on a comme lui l’habitude de gambader en liberté n’est pas toujours bien accepté.
Il existe une méthode qui lui permet de comprendre ce que j’attends de lui, la tension/cession : j’exerce une tension sur la longe lorsque D’Artagnan ne veut pas avancer et la relâche aussitôt qu’il fait un mouvement dans ma direction. Au bout de 2 à 3 exercices, le jeune baudet a compris ce que je demandais.
Même si la marche est encore loin d’être académique, D’Artagnan progresse tous les jours.
ca fait du bien de voir des gens passionnés et qui aiment les ânes!!
Bonne continuation!!
Merci pour ce sympathique commentaire Pascal.
que de travail, mais vous avez la passion – bon week end cordialement anne-marie